JAZZ MIGRATION
VENDREDI 21 OCTOBRE / 21H
CHARLEY ROSE TRIO
+ SUZANNE
VENDREDI 21 OCTOBRE / 21H
Ouverture des portes 20h30 / Pannonica
PRÉVENTE :
Tarif Plein : 10€ / Réduit : 8€ / Petit Chat Fidèle et Très Réduit : 5€
L’achat sur place le soir du concert est majoré de 2€.
Concert proposé dans le cadre de Jazz Migration, dispositif d’accompagnement de musicien·ne·s émergent·e·s de jazz et musiques improvisées porté par AJC, avec le soutien du Ministère de la Culture, la Fondation BNP Paribas, la SACEM, l’ADAMI, la SPEDIDAM, le CNM, la SPPF, et l’Institut Français.
Jazz Migration est un programme d’accompagnement porté par l’AJC, le collectif des clubs et des festivals de jazz – depuis 2002. Le dispositif, pensé dans un parcours global, apporte des outils de structuration et de professionnalisation aux musicien.ne.s adaptés aux spécificités du secteur jazz. Cette saison, une nouvelle réflexion et un nouveau parcours s’amorce sur notre territoire « Les Dynamiques de l’émergence dans le grand Ouest ».
CHARLEY ROSE TRIO
CHARLEY ROSE : SAXOPHONE, VOIX
ENZO CARNIEL : PIANO, CLAVIERS
ARIEL TESSIER : BATTERIE
Charley Rose c’est d’abord un timbre magnifique, un son de saxophone alto à la tendresse remarquable. Avec le pianiste Enzo Carniel et le batteur Ariel Tessier – musiciens très actifs et tandem déjà connu au sein du groupe House of Echo – ils forment un trio de jazz contemporain sans contrebasse, dont l’inventivité s’avère captivante. Tantôt ces trois-là imaginent qu’au cours d’une valse, Thelonious Monk rencontrerait Sergueï Prokofiev, tantôt ils nous font planer avec leur revisite d’une chanson de David Lynch.
© Sylvain Gripoix
SUZANNE
MAËLLE DESBROSSES : ALTO, VOIX
PIERRE TEREYGEOL : GUITARE, VOIX
HELENE DURET : CLARINETTES, VOIX
Suzanne, c’est une instrumentation singulière autour de folksongs d’un siècle nouveau. Une voie qui dépoussière la musique de chambre. Une voix qui fredonne, tantôt instrumentale, tantôt scandée, tantôt déchirée. La musique déroule des séquences où on navigue entre courants impressionnistes et foins d’été pour beatniks en quête de baume du tigre. Léonard es-tu là ?
© Laurent Vilarem