On termine la présentation de notre trimestre sur ce focus instrumental.
Il s’en est déjà passé des choses dans ce registre. Hier, Anouar Brahem Quartet était en ouverture de Jazz en Phase. Si vous y étiez vous avez pu voir, en première partie, Peggy Buard et Emilie Chevillard. Le duo harpe et piano démontre l’étendu des possibilités sonores offert par leurs instruments. Les musiciennes reviennent en novembre au Pannonica. Ce même soir, Morgane Grégory, à la harpe celtique, nous laissera entendre encore un autre rapport à l’instrument.
Et le oud, on en a en stock ! Découvrez le 9 novembre, Kamilya Jubran, et Sarah Murcia. Elles présentent leur projet au carrefour des musiques orientales et occidentales, entre traditions et modernités. Un heureux mariage qui croise les esthétiques et parcours de chacune. Ce soir-là jouera aussi Samir Aouad, entouré de Remi Allain et Olivier Besson. Ce trio s’inscrit dans la tradition musicale orientale, tout en se nourrissant du jazz pour révéler la richesse des rencontres et des cultures. Soutenus par Trempo, ils étaient, il y a quelques jours, en résidence pour préparer ce concert.
Enfin, nous dédions une soirée à la guitare. SOME GUITARS, NO HEROES. Sur scène, nous verrons donc Manuel Adnot et Vincent Dupas, Michel Henritzi et Jeff Parker. Chacun de ces musiciens entend sa pratique instrumentale différemment, mais tous ont à cœur de faire transparaitre une série d’émotions liée tantôt aux errances du blues, à la bal(l)ade folk ou aux grandes odyssées jazz : de Robert Johnson à nos jours, entre récits légendaires, imaginaires, ou personnels…
